Mardi 23 décembre 2008 à 0:44

Je me suis pété le genou... Non il est pas cassé, mais c'est pareil. Donc en fait j'ai glissé, je me suis étalée par terre, et baoum le genoux dans le coin du meuble qui était en face. J'arrivais même pas a marcher sur le coup, now c'est juste les escalier qui posent problème, et la douleur mais c'est supportable. Je suis une warrior moi de toute façon.
Ouais ma vie est passionante, et jeudi c'est nowêl.

Dimanche 21 décembre 2008 à 0:32

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Au milieu de ce vide intersidéral, j'aurais surement le temps de penser à toutes ces choses, ce que je suis toussa. C'était trop facile de dire que j'étais une pute, simple déguisement. Et maintenant? Pourquoi ce s'rait différent? J'ai changé c'est sur, ma relation avec mon environnement le dit clairement, plus besoin des autres pour me sentir indestructible. Et lui dans tout ça? Si j'n'ai effectivement besoin de personne, ou au contraire de trop de gens, pourquoi je resterais, pourquoi j'arrêterais de fuir? L'impression que tout se fige, rassurant? Ou au contraire tellement flippant que ça en devient paralysant et qu'on finit par s'y complaire?
Je sais déjà ce qui va se passer, un soir sur deux à chialer comme une gamine; des sourires, des faux semblants, et ce sentiments d'être juste de trop. Mais parfois on réussira à masquer le tout, et on finira par croire qu'on s'éclate.
Et non, personne ne m'a jamais abandonné, ou presque, j'ai seulement un don pour disparaitre, me faire oublier.
Et qui aurait cru qu'il me rappellerais? Ca devait juste en être un de plus. Je sais pas quoi lui dire, je suis mal à l'aise, étant donné qu'il y'a surement quelqu'un dans ma vie maintenant. D'ailleurs je n'en ai pas parlé ou presque, comme si le fait de le cacher me permettait de le garder.
Et puis c'est fou comme ça me manque, ma vie là bas, j'aurais pas cru. Faut pas que je m'attache merde, pas envie que ça recommence. J'ai trop longtemps lutter pour éviter ça. Pourquoi ce s'rait différent? Pourquoi ça irait bien maintenant?
Sinon à part ça, j'ai un nouveau chapeau... il est juste interdit de se moquer (oupa).


 

Lundi 8 décembre 2008 à 22:42

Elles avaient jamais été aussi grosses, enfin dans son souvenir en tout cas, et le visage tout mouillé, elle continuait à lire les phrases qui apparaissaient sur son ordinateur. Il avait deviné, il avait vu, malgré tout, il à mis le doigt dessus. Mais personne ne peut comprendre à quel point les mots lui font mal, même elle elle ne comprend pas. Ca a l'air de rien pourtant.  Raconter un simple voyage est une épreuve, alors pour le reste...
Elle se sent si con du coup, elle aimerait la tuer celle qu'elle appelle l'autre, mais qui finalement est peut-être juste elle. Parce que qui est-elle si elle n'est pas cette autre?
Elle passe tellement de temps à analyser les mots, qu'elle garde les siens de peur de dire quelque chose de trop, de mal placé ou de stupide.
Elle s'enfonce dans une stupidité fausse, pour se protéger, MAIS SE PROTEGER DE QUOI CONNASSE?
Et elle à peur, peur qu'il l'abandonne, mais aussi peur qu'il reste... Elle est persuadé de s'emprisonner, mais d'un autre côté elle l'apprécie tant.
Ca faisait juste longtemps que ça ne s'était pas passé comme ça, il est resté lui, pour l'instant... Elle reste persuadée que ça n'ira nulle part, de toute façon ça lui fait peur l'idée que ça aille quelque part, il ne faut surtout pas que ça ressemble à ce que c'est, et pour l'instant c'est le cas.
Et son confident numéro un qui disparait, elle à tant de trucs à lui raconter, lui soumettre, lui se contente d'être invisible, de ne pas venir.
Elle à si peur d'être seule, qu'on l'abandonne, encore...
Et puis il y'a cette fille qui ne demande qu'à l'aider, mais elle, trop fière, veut y arriver toute seule, pourtant plus le temps passe, plus elle risque d'échouer. Elle à mis tous ces espoirs dans cet entretien, si ça se passe mal elle aura plus qu'à aller se noyer dans une autre bouteille.
Encore une fois en apparence tout va bien, mais dans sa tête tout s'écroule.
Et puis il y'a tous ces autres aussi, elle aimerait tant qu'il lui manifeste un peu d'intérêt, mais non tout ce dont ils sont capable c'est faire preuve de curiosité malsaine.
Il y'a des jours où elle a vraiment l'impression d'être une gosse, qui ne réfléchit pas, et se contente de maudire le mauvais sort quand ça tourne mal.


Samedi 6 décembre 2008 à 2:50

C'est bizarre, ce sentiment de stabilité, de "sécurité". Je gère les cours, je suis dans une chips alors sentimentalement on peut dire que ça va bien.
Mais mais mais, toujours cette envie de changement, d'essayer autre chose, de ne pas céder à cette facilité qui me tend les bras, pourtant c'est tellement tentant. Même mon stage va peut être finalement m'être accordé; entretien mercredi matin.
J'ai même réussi à parler devant eux sans pleurer et sans trop trembler, pourtant j'étais filmée.
Ce s'rait cool de pouvoir partir sereinement le 18décembre, en me disant qu'en revenant j'aurais plus qu'à prendre mon poste.
Voili voilou, tout va bien, trop bien? J'ai pas l'habitude on va dire. C'est reposant quand même.


Jeudi 27 novembre 2008 à 22:53

Même que il avait les larmes aux yeux quand je lui ai dit qu'éventuellement je ne resterais pas l'an prochain. J'aurais pas pensé... Ca me touche.
J'ai enfin réussi à récupérer mon portable irlandais débloqué, et même que comme j'ai mis trois mille an à le récupérer ils m'ont pas fait payer le service, hihi.
Et l'autre qui paye pas son jaune, et qui en plus se fait rembourser parce que ça soupe était pas bonne. Ou comment gagner de l'argent en allant manger jaune.
Braif, c'est tout I think. Il faut juste que je bosse mon anglais a fond, et ma culture G. J'ai a peu près trois mois.
J'ai peut-être trouvé THE stage =D. Plus qu'à prier pour qu'ils veuillent biens de moi.
Sinon si vous connaissez une bonne école de commerce sur paris, je veux bien le tuyau (un truc pas trop balèze à rentrer hein, parce que HEC j'ai pas le level^^).
Tchoubye

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Il y a un an

Il ne se passait rien...
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