T'as cru peut-être qu'il suffisait d'être beau pour survivre, mais tu finiras handicapé et mort prématurément. Tu seras un calvaire, un boulet. Et pourtant tu t'accroches, comme si tu suppliait, il m'arrive de te parler de prêter attention à toi, mais je te hais profondément. Et je ne peux parler de toi à personne, il va falloir me battre seule pour te sortir de ma vie, mais je le jure, tu disparaitra aussi facilement que tu es apparu.
Jeudi 16 avril 2009 Ã 19:02
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